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© Stéphane Compoint
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Image virtuelle du site du “Palm Jumeirah”. Avec ses 3 840 km2, Dubaï n’a qu’une courte façade littorale. Aussi, le petit émirat s’est-il lancé à partir de 2001 dans de pharaoniques projets touristiques, dans le dessein d’augmenter ses côtes en construisant les plus importantes îles artificielles du monde. Premier du genre, le « Palm Jumeirah » est un ensemble touristique gagné sur la mer constitué d’un tronc et de 17 palmes cerclée par une digue longue de 11 km. Sur cet ensemble de 5 km de diamètre, 60 kilomètres de plages ont été créés en déplaçant plus de 100 millions de m3 de sable et de rochers. Logiquement terminé fin 2006, « Palm Jumeirah » accueillera plusieurs dizaines d’hôtels, des milliers de maisons individuelles et d’appartements ainsi que des marinas, des restaurants, des parcs aquatiques, des centres commerciaux, des terrains de sport, des centres de thalassothérapie, des cinémas, etc. Un pont de 300 mètres reliera le tronc au continent. Un monorail desservira l’ « Atlantis Resort », cœur du complexe constitué d’un hôtel de 1 000 chambres et d’un parc aquatique. Pour finir, un parking de 10 000 places se trouvera à proximité de la tête de ligne du monorail.
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