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© Stéphane Compoint
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A hauteur de la grande galerie des chimères et gargouilles, qui relie la base des tours. Sur la balustrade qui surmontent la galerie, Viollet le Duc a posé des chimères, peu visibles depuis le sol. La révolution de gothique a allégé les façades (qui ne soutiennent plus l'édifice) et permis la création de roses (rosaces), une fleur qui fascine la Moyen Âge. Celle de la façade compte douze pétales, un chiffre symbole de l'Incarnation, thème qui illustre le vitrail, visible depuis la nef (photos 91 et 93). Au premier plan de g. à d., la rue du cloître Notre Dame, le parvis Notre Dame, le bras sud de la Seine et le pont au Double. En arrière plan à droite, le quai Montebello, l’École Polytechnique et le Panthéon. Altitude 40 mètres.*** Local caption ***At the height of the great gallery of chimeras and gargoyles, which connects the base of the towers. On the balustrade surmounting the gallery, Viollet le Duc laid chimeras, barely visible from the ground. The Gothic Revolution lightened the facades (which no longer support the building) and led to the creation of roses, a flower that fascinates the Middle Ages. This one has twelve petals, a symbol of the Incarnation figure, which illustrates the theme window, visible from the nave (photos 91 and 93). At the forefront l. to r., Notre Dame Cloister street, Notre Dame square, the south arm of the Seine and the Pont au Double. In the right background, the Quai Montebello, École Polytechnique and the Pantheon. Altitude 40 meters.
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Conditions particulieres: Sur le territoire français uniquement, droits exclusifs au groupe Bayard Presse jusqu'au mois de décembre 2015.
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